Beaucoup le pensent, beaucoup le disent : la propre
estime de soi joue un grand rôle dans la beauté ; être fier et sûr de son
apparence ne fait qu’augmenter l’attrait des regards et le consentement des
autres, jusqu’à parfois arriver même à devenir un exemple à suivre. C’est ce
qui nous prouve Nikki Black, une jeune comédienne âgée de 25 ans qui, après
avoir subi une intervention des seins (après avoir été diagnostiquée comme
atteint de cancer aux seins) a décidé de se faire tatouer les seins pour
démontrer aux autres tout son amour et sa fierté pour son propre corps.
C’est à l’âge de 23 ans que la jeune Nikki Black s’est faite
diagnostiquer comme atteinte d’un cancer du sein. Afin d’y remédier, elle subit
une mastectomie, qui est une opération de chirurgie qui vise à enlever une
partie ou la totalité du sein pour remédier à un cancer (dans le cas de la
jeune femme l’ablation a été partielle).
Cependant, avant même de finir son traitement, la jeune
femme se tourne vers le maquillage corporel, les dessins artistiques et la photographie
afin de prendre son mal en patience. C’est en commençant à faire des dessins
sur son crâne que la jeune femme se passionne par cette forme particulière d’art
qui consiste à dessiner sur son propre corps.
Après la fin du traitement elle décide donc d’appliquer des
tatouages sur ses seins reconstruits, et d’après ses propres déclarations, son
but était de ressentir qu’elle avait le total contrôle sur son propre corps,
mais aussi de transmettre une forme d’énergie positive vers son entourage qui s’inquiétait
sur la forme de la jeune femme. Ses tatouages, réalisés dans une boutique
spécialisée nommée The Gilded Lily Design, où la tatoueuse Holly Feneht se
spécialise dans le tatouage paramédical, très en vogue ces derniers mois.
Aujourd’hui, même si Nikki Black devra poursuivre un
traitement spécifique pour encore 5 années, elle est sur la bonne voie de
guérison et a même su trouver une bonne façon d’être constamment de bonne
humeur, comme elle dit à travers un article écrit pour XO Jane : « les
séances de tatouage étaient comme une thérapie, une chirurgie pour l’âme ».
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